La première Conférence de plate-forme numérique et les coopératifs a eu lieu à la New School, le 13 novembre et 14 à New York, NY. L’auditorium était places debout avec des technologues, des étudiants, universitaires, développeurs des coopératives et des militants.
Intérêt dans les plates-formes Internet coopératives est alimenté par une opposition à l’économie de partage qui est constituée de sur des plates-formes numériques comme Uber et TaskRabbit. L’argument avancé est que ces « apps » ont pris contrôle du monde de travail et qu’ils font plus précaires qu’il a déjà été pour les travailleurs.
Organisateur Trebor Scholz suggère que nous pouvons « embrasser la technologie, mais remplacer le modèle de la propriété » avec des coopératives. Le manque de préoccupation pour les travailleurs et le mépris des règlements dans certains secteurs nuisent à la vision de l’économie « partage », qui avait initialement suscité l’espoir pour l’autonomisation des personnes.
Il y en a peu qui est novatrice ou exclusives dans la technologie elle-même. Dans cet esprit, les présentateurs de la Conférence explorent comment on pourrait copier ces monopoles et transférer la propriété de l’économie de partage aux entreprises coopératifs. Consommateurs, on a fait valoir, ont décidé comment fonctionnera l’économie de partage et il est crucial que ces plateformes perturbateurs monopoliser pas l’économie « sur demande ».
L’économie sur demande indique une poussée massive mondiale en faveur des « ponts » monopolistique qui s’insérer entre ceux qui offrent des services et d’autres qui recherchent ces services. Ces intermédiaires extrait entre 20 et 35 p. cent pour relier les travailleurs avec les clients potentiels tout en déplaçant les risques directement aux travailleurs. Ces plates-formes décentralisés et monopolistiques ont également peu ou aucune infrastructure.
Conférence de coopérativisme de plate-forme numérique a réuni de nombreux experts pour la première fois dans la discussion à profondeur sur les enjeux coopératifs aux perturbations conduites au marché du travail. Il y a déjà de nombreuses démarrage de coopératives de plate-forme à émuler. Laz’ooz est un système alternatif, décentralisé de covoiturage, tandis que Loconomics est une version coopérative de Taskrabbit. Tous d’entre eux sont nouveaux, et loin de concurrencer les Uber, Lyft ou Taskrabbit, mais ils apportent une vision alternative à l’aide des valeurs coopératives.
Lire un rapport complet sur la Conférence (Anglais) ou pour fond de profondeur, lire l’essai (Anglais) qui l’a inspirée. Il ya aussi une table ronde (Anglais) sur le sujet et les articles suivants sur comment procéder à cette idée à travers des projets innovants accélérateur avec les villes. (Anglais) L’ensemble de la Conférence a été diffusé en direct et peut être consulté en ligne. (Anglais)
Un discussion de Radio-Canada sur l’événement (français)